Formations

Nos propositions

Chaque association du Réseau des Créfad organise des formations multiples et variées, et le Réseau en propose des complémentaires : de un à cinq ou six jours, orientés sur une thématique, l’acquisition de méthodes ou d’outils et par ce biais développer l’autonomie et les capacités des personnes.

Nous construisons aussi des formations sur mesure, adaptées aux besoins des personnes et des structures. N’hésitez pas à nous contacter en ce sens.

Nos prochaines formations

Connaissance des institutions publiques et de leurs relations aux associations – du 22 au 24 octobre 2024

Cette formation vise à aborder les aspects institutionnels, politiques, administratifs, juridiques et historiques de la relation entre l’État, son organisation à différentes échelles, les collectivités territoriales et les associations. Il s’agit d’envisager dans cette relation les démarches, les conditions d’action, les marges de manœuvre mobilisables pour les associations en tant que moteurs de la vie sociale et démocratique.

dateslieu de formationduréecoût (cadre prise en charge OPCO)
du mardi 22 (10h)
au jeudi 24 octobre 24 (17h)
Brioude
21 heures840 € + frais pension complète

Le coût ne doit pas être un frein à la formation. Si vous ne bénéficiez pas de prise en charge, n’hésitez pas à nous contacter. De même que pour tout autre besoin spécifique, nous tenterons de trouver ensemble les réponses adéquates.

Renseignements et inscription : c.duray(at)reseaucrefad.org


Être animateur·ice de réseaux – du 29 au 30 octobre 2024

Avec le principe de coopération, de considération de chacun·e, dans une dynamique de mutualisation, avec les respect des identités, des tempéraments, des positionnements, en prenant en compte les enjeux individuels et collectifs, en limitant les égos, en organisant les modes de décisions, en diffusant toute l’information, en distinguant le politique et l’opérationnel : que c’est complexe la coordination et l’animation de réseaux ! Comment agir au mieux ? Comment apprendre et se perfectionner ? Comment faire commun ? Quels sont les principes et fonctionnements facilitateurs ?

dateslieu de formationduréecoût (cadre prise en charge OPCO)
du mardi 29 (10h)
au mercredi 30 octobre 24 (17h)
Lyon
16 heures640 € + frais pension complète

Le coût ne doit pas être un frein à la formation. Si vous ne bénéficiez pas de prise en charge, n’hésitez pas à nous contacter. De même que pour tout autre besoin spécifique, nous tenterons de trouver ensemble les réponses adéquates.

Renseignements et inscription : reseaudescrefad(at)gmail.com


◊◊◊ Séminaire Itinérant des Acteurs et Entrepreneurs Sociaux

Le Séminaire Itinérant des Acteurs et Entrepreneurs Sociaux propose à des personnes inscrites dans l’action éducative, sociale, associative, militante, coopérative… de réaliser un travail de recherche-action à partir d’une question ancrée dans leurs pratiques. Cette formation en alternance offre un panorama des sciences sociales sur trois ans, grâce à la rencontre avec des intervenant·es varié·es, un espace de travail coopératif entre les étudiant·es, un accompagnement permanent par des formateur·ices d’adultes et une itinérance (les sessions se tiennent dans des lieux différents, en France et à l’étranger). Il vise à terme la présentation d’un mémoire en vue de la validation d’un DHEPS (diplôme en hautes études des pratiques sociales).

Cette formation fait l’objet d’une demande d’inscription au répertoire spécifique des certifications et habilitations pour la certification Les « agirs » professionnels du responsable facilitateur de projets  de transformation et d’innovation sociale.

La prochaine promotion a démarré en octobre 2022 et terminera son parcours en juillet 2025. La prochaine démarrera à l’automne 2025

Vous trouverez ci-dessous le dossier d’inscription et la plaquette de présentation.

Renseignements et inscription : contact@reseaucrefad.org

Une partie des mémoires et fiches de lecture réalisés par les étudiant·es en DHEPS est consultable dans notre bibliothèque.


Nos références

Le Réseau des Créfad est un organisme de formation enregistré auprès de l’Etat (sous le n°83630436963) et engagé dans une démarche de certification de qualité (Certifié Qualiopi depuis 2021).

Les actions de formation du Réseau des Créfad sont certifiées.


En 2023, nous avons réalisé 17 formations courtes (entre un et six jours) et une formation longue (le SIAES-DHEPS), soit au total 132 personnes pour un total de 681h.
Les participant·e·s à nos formations ont affecté la note de satisfaction de 94,2/100 à celles ci (moyenne effectuée à partir des questionnaires post-formation récoltés en 2023).

Les thématiques étaient les suivantes :

  • La méthode de l’arpentage (Bourg en Bresse et Bagnolet),
  • Créer et administrer un site internet avec WordPress (Clermont-Ferrand),
  • Penser et agir dans la complexité – entraînement mental (Nevers et Gaillac),
  • Créer un café ou une cantine associatif (Nadaillat),
  • Comptabilité et gestion des clés et cantine associatifs (Nadaillat),
  • Cuisiner végétarien et ensemble (Nadaillat), Être animateur de réseaux (Grenoble),
  • Théâtre de l’opprimé – situations d’oppression dans notre rapport aux savoirs (Forcalquier),
  • Lecture et Écriture, face cachée dans nos pratiques sociales et professionnelles (Prissé),
  • Pour une appropriation plus collective des outils de la comptabilité et de la gestion (Sète),
  • S’appuyer sur la recherche en sciences sociales pour améliorer l’accompagnement des jeunes (St-Etienne),
  • Interculturalié, multilinguisme et droits culturels (Blanlhac),
  • Faire éclore et durer des tiers-lieux à but non lucratif (Toucy).
Documents complémentaires

Comment participer

Comment s’inscrire ?

Le moyen le plus efficace est le courriel reseaudescrefad@gmail.com. Nous vous enverrons les documents complémentaires et, si besoin, programmerons un entretien au téléphone ou en visio. Lors de celui-ci, nous envisagerons ensemble si la formation qui vous intéresse est bien adaptée à vos attentes et votre situation, et envisagerons les conditions matérielles permettant votre participation. Parce que nous sommes tous·tes différent·es et que nous avons des besoins spécifiques, pour que le handicap ne soit pas un frein à la formation, le Réseau des Créfad tente de s’adapter aux réalités de chacun·e. Contactez-nous pour que nous construisions ensemble la formation qui vous convient au mieux.

Combien ça coûte?

Nos actions s’adressent à des adultes et s’inscrivent dans le cadre de la formation professionnelle continue des adultes et jeunes adultes. Elles sont éligibles au titre de la formation professionnelle continue, de la formation de bénévoles ou de la formation d’élus.

Il s’agit pour nous de faire prendre en charge les coûts liés à la formation par les organismes paritaires, les pouvoirs publics et les structures employeuses et non par les seuls individus, de tendre vers l’égalité et la mutualisation. Des principes simples et de bon sens. C’est aussi dans ce sens que nous tentons de trouver des solutions pour toute personne motivée pour se former mais sans forcément les moyens financiers pour le faire.

Nous nous battons pour que la formation des adultes s’inscrive dans l’éducation populaire au service de l’émancipation de chacun·e et non dans un marché de la formation assujetti au service des emplois, voire des structures employeuses ou encore de statistiques. La prise en charge est un moyen au service du projet pédagogique et non une fin en soi.

Nous sommes conscient·es que l’accès à une prise en charge est inégal, aléatoire, parfois complexe et même parfois injuste : nous faisons de notre mieux pour que la formation soit accessible à tous·tes et nous tentons de trouver des marges de manœuvre pour nous adapter aux situations particulières : participation à titre personnel très réduite, prix libre, troc… Nous essayons d’inventer les solutions avec les personnes pour qui l’accès à une prise en charge correcte n’est pas possible.

En conséquence pratique, il faut entrer en contact avec l’association et discuter des conditions de participation acceptables pour les deux parties, partant du principe qu’on trouvera toujours une manière de faire, ensemble.

Enfin, en tant qu’associations, nous sommes fier·es d’être à but non lucratif et d’utiliser les recettes pour rémunérer le travail des formateur·ices et les frais de fonctionnement des associations, et non de créer des dividendes pour des actionnaires. Concrètement, les éventuels bénéfices (car les associations ont le droit de faire des bénéfices !) sont l’occasion de permettre des tarifs réduits, de former les formateur·ices, de renouveler les ressources documentaires, de créer et d’expérimenter de nouvelles formations… La formation des adultes n’est pas un luxe mais une nécessité. A bon entendeur !

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(Re)donner place aux corps

Dans toutes les situations de la vie sociale, nous pouvons constater la dissociation entre l’intellect et le corps, privilégiant la pensée, le concept, l’idée en niant le corps. Pourtant la prise en compte du corps permet, par la prévention et par la connaissance, d’anticiper nombre de situations problématiques et coûteuses : fatigue, stress, mal de dos, indispositions, démotivation, absences, etc.

Le Réseau des Créfad œuvre à la mise en place, partout où c’est possible, avec des acteurs sociaux, des employeurs, des salariés, des associations, des bénévoles, des actions de sensibilisation, d’accompagnement, de formation permettant de prendre en compte le corps : dans les relations de travail, l’organisation des postes de travail, dans les pratiques pédagogiques et d’enseignement, dans les situations sociales. Des apports de connaissances, des paroles, des pratiques simples et adaptées (hors d’une médicalisation) ouvertes à tous les publics quels que soient les âges, les métiers, les situations sociales pour (re)donner place entière à nos corps.

Choisir ses façons d'habiter

Habiter pour s’abriter, pour se loger, pour agir… seul ou à plusieurs, de manière pérenne ou non, de manière autonome ou concertée… Cet horizon ouvert de nos espaces de vie exige d’interroger nos habitudes, ce qu’on nous a transmis ou non, l’articulation entre formes de l’habitat (grand, petit, léger, dur…) et fond de ce qu’on souhaite vivre en son sein (travail, logement, individuel, collectif…), l’intérieur et l’extérieur. Œuvrer pour un habitat choisi, abordable par tous, confortable pour chacun·e et sain. Retrouver du pouvoir d’agir dans sa fabrication et/ou son appropriation en acquérant des savoir-faire liés à la construction et la rénovation, apprendre à auto-construire et qu’il s’agisse de nos espaces de vie ou de travail ou une hybridation inventive. Interroger et bousculer les pouvoirs publics sur les conditions d’habiter souvent en contradiction avec leur souhait d’accueillir de nouvelles populations ou de mixité sociale. Articuler l’habiter à notre rapport à l’environnement, à la nature, à la santé, à l’espace public, à l’implication citoyenne.

Propriété collective à but non-lucratif

Nos outils de travail sont notamment des espaces partagés, de cohabitation, de mutualisation pour que les associations (et pas seulement celles du Réseau des Créfad) puissent établir des passerelles, construire du commun, des communs. En devenir propriétaire à plusieurs, c'est concrétiser l’idée de conserver nos outils de travail que sont nos locaux dans un temps long, aussi long que nos projets associatifs, du long-terme donc. De même, il s'agit de conserver une dimension non-lucrative de nos locaux comme nos associations sans but lucratif. Les conserver à distance de la tentation de spéculation du marché et toute autre réduction de nos outils à une valeur strictement marchande ou encore nous garantir une autonomie d’action (être propriétaire nous permet d’habiter et d’agir) dans une relation aux pouvoirs publics limitant possiblement les jeux d’influence.

Alors il nous faut trouver des formes de propriété adaptées à nos convictions sociales et démocratiques qui sortent nos outils de travail partagés de toute logique capitaliste, comme les SCI (sociétés civiles immobilières) articulées au principe une structure = une voix, les fonds de dotation ou encore les associations, et peut-être d’autres encore à inventer.

Des arts dans nos pratiques

Nous invitons les arts dans nos actions. Nous concevons nos accompagnements, nos formations, nos animations en prenant en compte l’esthétique de l’espace et la place du corps. Nous proposons aux participant·e·s de s’exprimer dans d’autres registres que l’intellectuel (le sensible, le poétique…) et par d’autres modes que la parole et l’écrit (le mouvement, le dessin…).

Le Réseau des Créfad initie des actions en partenariat avec des artistes (chorégraphes, comédien·ne·s, photographes…) pour faire exister des propositions artistiques sur nos terrains, hors du divertissement. Nous considérons les arts comme une forme de connaissance du monde et comme l’élément d’un bien vivre, au même titre qu’un habitat confortable ou qu’un emploi épanouissant.

Nous accompagnons les participant·e·s de nos actions à explorer les arts dans leur diversité, à créer leurs propres significations à partir d’une expérience artistique et à s’autoriser à travailler une pratique artistique et même plusieurs.

Accompagner les initiatives

Faire chemin au côté des hommes et des femmes qui ont une idée à faire éclore. Accueillir, être à l’écoute, proposer des étapes, des outils, de la formation, des écrits à lire et à produire… au rythme du mûrissement de l’initiative, qu’elle soit individuelle ou collective. Soutenir l’initiative tout en questionnant les évidences, pour que l’initiative fasse sens et cohérence pour celles et ceux qui la portent. Faire lien, ouvrir des réseaux : on ne crée pas seul, on n’agit pas seul, même quand il s’agit de créer sa petite entreprise, son habitat, sa pratique artistique. Accompagner sans enfermer dans une catégorie malgré les usages en vigueur : les jeunes, les séniors, les ruraux, les demandeurs d’emploi… au gré des saucissonnage de nos vies ou des dispositifs qui nous morcellent par tranches de difficultés (le logement, la famille, l’isolement, la pauvreté, la formation…). Les associations du Réseau des Créfad accompagnent des hommes et des femmes dans le respect de leur dignité humaine, dans tout ce qu’ils et elles entreprendront de juste et solidaire.

Des urbanités solidaires

Entre métropolisation, relégation et dévitalisation, il est des territoires en voie de déshumanisation. Peut-être ou pas. Les associations du Réseau des Créfad revendiquent une (ré)appropriation des espaces et territoires de vie par leurs habitant·e·s. Prendre part, prendre sa part, partager, initier des manières de faire vie collective, individuellement et avec d’autres. Interroger les espaces publics, les investir de nos actions, de nos liens, les « déstigmatiser » pour qu’ils nous « déstigmatisent ». Des densités, des mixités, des cultures pensées comme des ressources plutôt que des frontières.

Des approches qui décloisonnent, qui « transversent » ! C’est ce que les associations mettent en œuvre.

Transformer nos problèmes de terrain en objets de recherche

Devenir des acteur·e·s-chercheur·e·s.

Parce qu’agir nous engage à penser, à prendre du recul sur nos pratiques, à les analyser pour les faire évoluer. Rester critique sur notre « penser », sur notre « agir ». Mais il s’agit aussi de s’appuyer sur des connaissances, des théories, des savoirs qui vont éclairer nos pratiques d’une autre manière, nous faire élargir nos points de vue, les confronter à d’autres regards et analyses. De la rigueur scientifique, de l’exigence éthique et pratique, de la pensée dialectique et raison logique ancrées dans nos terrains d’action… comme un art de questionner le monde.

Et puis, écrire, parler, transmettre ce qu’on a construit de ce mouvement de la question en savoirs, en connaissances, en méthodes, en interrogations. Démarche d’acteur·e ou démarche collective, rien d’inné dans la recherche-action ou action-recherche, entre autres le séminaire itinérant des acteurs et entrepreneurs sociaux animé par le Réseau des Créfad nous ouvre des possibles.

Écrits et pratiques éducatives

Les écrits sont partout dans les vies professionnelles et quotidiennes et sur de multiples supports. Lire, écrire et parler sont des gestes sociaux façonnés par ce qui a été transmis en multiples situations et milieux (famille, école, mondes du travail, groupes sociaux…) et qui évoluent en permanence. Se réapproprier le l’écrire, le parler et le lire dans leur diversité engage de désacraliser, décloisonner le social, l’éducatif, le culturel et le politique ; de déployer multiples approches et actions, à tous les terrains. Des objectifs multiples eux aussi y sont associés mais rarement explicites : le taux d’illettrisme stagne depuis de très nombreuses années à presque 10% de la population adulte ayant été scolarisée, à qui profite cette situation ? Les jeux de pouvoir et de domination sont souvent à l’œuvre et parfois très difficiles à déjouer tellement nous les avons incorporés : « lire, ce n’est pas pour moi », « je ne sais pas écrire, je suis nul en orthographe »… Les associations du Réseau des Créfad tentent de multiples manières et sous de multiples formes de rappeler et d’agir sur du parler-lire-écrire articulés comme des moyens d’émancipation, de pensée individuelle et collective, de transmission, comme des terrains d’intervention et d’expression à condition qu’ils soient accessibles et transmis à toutes et tous.

Comprendre et déjouer les dominations

Lorsque l’on s’intéresse à la relation aux autres et à la compréhension du monde social, la domination est l'un des thèmes le plus largement travaillé.

Nos associations d’éducation populaire et les individus qui les composent, comme l’ensemble de la société, s’inscrivent dans des relations sociales et sont donc à ce titre largement concernés par les questions de domination à l’interne comme à l’externe. En tant que formateur·trice·s, animateur·trice·s, accompagnateur·trice·s, nous nous trouvons par ailleurs régulièrement dans des situations où les relations avec les personnes sont asymétriques, aussi la compréhension des mécanismes de pouvoir et d’autorité que nous pouvons exercer (parfois malgré nous) nous semble un préalable intéressant à mettre au travail.

Les thèmes et concepts liés aux questions de domination se sont très largement enrichis, et sont aujourd’hui largement débattus, contredits, questionnés, controversés. C’est pourquoi un travail rigoureux à notre échelle nous semble indispensable pour distinguer les différents aspects qu'une telle question met en lumière et comprendre ce que cela soulève dans nos pratiques et dans nos relations.

Au-delà d’un précepte moral de lutte pour une justice sociale et pour l’émancipation des individus, il nous appartient donc de mener ce travail dans la durée pour comprendre les questions de domination et mieux les prendre en compte dans nos associations d’éducation populaire.

Des territoires ruraux vivants

Ni perdant de la restructuration de notre société, ni pendant de l’urbain, le rural se définit d’abord au pluriel. Des territoires ruraux, des espaces ruraux fertiles à la création de projets, d’initiatives, de liens, d’idées, de natures, de vies. Des espaces où se conjuguent si l’on crée des conditions favorables, coopération, solidarité au cœur de l’action. Les associations du Réseau des Créfad ensemble et avec d’autres souhaitent contribuer à l’émergence et au maintien de dynamiques locales, coopératives, associatives, citoyennes, agri-rurales. Cela les engage à accompagner les initiatives, à former les acteurs, à ouvrir l’espace culturel de chacun·e, à intervenir auprès des pouvoirs publics…

Se former tout au long de la vie

Rendre possible tout au long de sa vie le fait d’apprendre, d’élargir ses connaissances, ses compétences, ses savoir-faire… renouveler sans cesse la curiosité de chacun·e. Se former pour ouvrir des brèches, tracer son chemin, à partir de toutes les scènes de la vie.

Sans hiérarchie des savoirs, questionner en permanence dans nos associations nos méthodes, nos pédagogies, nos modalités, nos postures. Il s’agit alors de former et de se former pour ne pas s’enfermer dans des habitudes, consolider son autonomie de penser et d’agir sans craindre la complexité du monde.

Notons que la méthode de l’entrainement mental constitue un point d’appui primordial dans notre action de formateur·rices.